Note : 1/4
Mis à part cet aspect et la très bonne prestation de Léa Drucker dont le jeu rappelle par bien des aspects celui de Sandrine Kilberlain dans ses meilleurs jours, le film est d'une nullité abyssale. En effet, la transformation de Cyprien en playboy grâce à un déodorant magique est totalement pompée sur Dr Jerry et MR Love sauf qu'elle est complètement ratée et débile. Le fil conducteur de l'histoire et super convenu, les rebondissements sont débiles, les personnages secondaires sont inintéressants pas crédibles et mal joués. La palme revenant au look de Vincent Desagnat et à la superbe prestation de Mouloud Ajour qui repousse les limites du mauvais jeu. Le pauvre Laurent Stocker campe quand à lui un bad guy auquel on ne croit absolument pas malgré une ou deux bonnes vannes.
Le réalisateur se réclame de Paul Thomas Anderson. C'est bien de se réclamer de quelqu'un de talent mais il n'en ressort qu'un talent digne d'un sous Max Pecas. On est à mille lieus de la qualité des deux Clercks qui mettent en scène eux aussi des geeks ou encore de High fidelity.
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